Je n'aurais de cesse de croire,
De rêver, de voir, d'attendre,
Qu'un jour ou l'autre sûrement
Je comprendrais, je saurais, enfin
Pourquoi, pour qui, pour quand.
Je n'aurais de cesse de vivre,
Une existence, une vie perturbée
Par un trop plein d'émotions, de vides
De regrets, d'attentes, d'espoirs,
Qu'un jour, peut-être, demain.
Je n'aurais de cesse d'espérer,
D'essuyer les larmes de mes yeux
Qui ne coulent jamais sur mes joues
De souhaiter en vain, toujours,
Ces paroles si belles, si fortes, si douces.
Je n'aurais de cesse de chercher
Où le chemin parcouru ira
Où le chemin à venir sera
Pour un temps, pour une éternité
Entre le ciel et mon coeur blessé.
Je n'aurais de cesse d'aspirer
Pour qu'un souffle nouveau naisse
Dans un corps si mince de vie
Si petit, si petit, si petit
Qu'il ne sera qu'une ombre sur le mur
Je n'aurais de cesse de penser
Quand la lune deviendra une étoile
Que cesseront ces mots, petits et gros
Qu'un jour, oui un jour, peut-être
Que ma tête se remplira de rire
Je n'aurais de cesse d'imaginer
Que tout cela, cette vie, cette lutte éternelle
Qu'au jour ou sonnera le glas
Un vainqueur sera concédé de surcroit
Moi, Moi, Moi, Moi, Moi et Moi.
Ben elle est puissante la lune...
RépondreSupprimerCe doute, il te fait dire des choses dure, triste, mais d'une bien jolie façon.
J'aime les mots.
J'aime moins ce qu'ils disent.
Heureusement que ce n'est qu'à la pleine lune...
Prochaine : 21 decembre!