mardi 26 avril 2011

L'alcool tue aussi... le respect !

Les campagnes de publicité qui parlent de l'alcool (en général), nous montrent les effets dévastateurs ainsi que les conséquences négatives qui touchent principalement les aspects physiques : l'alcool au volant tue, c'est l'une des principales causes d'accidents avec décès sur les routes, l'alcool brise des vies, handicape des gens, décime des familles, brise des ménages !

Toutefois, rares sont les commentaires visant à parler de l'aspect émotionnel que produit l'alcool sur les relations familiales et amicales. Quand un ami se soule la gueule, qu'il ne sait pas s'arrêter et qu'il devient baveux, obscène, irrespectueux, le problème est assez facilement réglé. Ordinairement si ce genre d'agissements est fréquent, il est à parier que cet ami ne restera pas longtemps dans notre cercle ! On aura vite fait de l'éloigner, de l'éviter, de l'abandonner pour ne plus avoir à subir ces comportements dérangeants.

Quand la personne qui agit ainsi est un membre de ta famille, les réactions sont les mêmes, mais il y a l'aspect filial et l'aspect émotif qui entrent en ligne de compte.

Mais tu fais quoi ?

Tu fais quoi quand cette personne - qui devrait être significative dans ta vie - ne s'aperçoit pas de tout le mal qu'elle peut causer simplement parce qu'elle est incapable d'avoir une relation saine et raisonnable avec la boisson ?

Tu fais quoi quand cette personne ne comprend pas que sa relation avec la boisson la transforme à un point tel que ses agissements sont négatifs, dégradants, incompréhensibles, ridicules ?

Tu fais quoi quand tu vois cette personne en état d'ébriété après quelques verres et que la seule chose qui te vient en tête est un sentiment de pitié, rien d'autre que de la pitié ?

Tu fais quoi quand, au réveil, cette personne ne se souvient plus de rien et qu'elle fait comme si rien ne s'était passé, fait semblant de rien, ne s'informe pas du mal qu'elle a pu causer, de la peine qu'elle a pu infliger, des mots qu'elle a pu prononcer, de l'image qu'elle a pu projeter ?

Tu fais quoi quand tu as pleinement conscience que cette personne n'aura jamais la franchise d'admettre qu'elle a un problème de boisson, qu'elle a eu tort, qu'elle a mal agit, qu'elle a pu te faire mal. Tout cela, en sachant pertinemment bien que les excuses ne font pas partie de son vocabulaire.

Tu fais quoi ? Tu fais rien !

Tu rembarques dans ton auto et tu retournes chez-toi en te promettant que plus jamais on t'y reprendra, plus jamais on ne te verra au même party que cette personne - qui est toujours, je le rappelle, un membre de ta famille et qui devrait, en théorie, toujours avoir un rôle significatif dans ta vie.

Tu fermes ta gueule et tu continue comme si de rien n'était ! Tu ravales ta rage, ta peine, ta honte, ta colère, ton incompréhension, ta rancœur ! Tu mets tout ça dans un tiroir blindé de ta mémoire et tu jures sur tout ce que tu as sur terre, de ne jamais - jamais, jamais, jamais - agir ainsi !

Tu reprends le cours de ta vie en sachant que cet épisode s'ajoute aux centaines, aux milliers qui ont déjà eu lieu dans ta relation avec cette personne et qu'à moins de changer de nom, la seule chose à faire est d'agir comme si cette personne était une étrangère !

Tu espères que cette personne lira cette chronique, qu'elle comprendra tout le mal qu'elle a pu faire. Tu t'en fous si elle continue à se murer dans son silence, dans son déni, parce que de relation avec elle, tu n'en veux plus ! Tu espéres, toutefois, qu'elle essaiera au moins de voir ce qu'elle perd en agissant ainsi et qu'elle verra qu'il y a d'autres gens autour d'elle qui, malgré tout, sont encore là ! 

L'alcool tue des gens ! C'est triste, triste en maudit ! Mais l'alcool tue aussi le respect.

Et aujourd'hui mon respect... il est mort !

vendredi 22 avril 2011

Je vous souhaite...

Je vous souhaite un bon congé de Pâques reposant, amusant, ensoleillé, énergisant !

Je vous souhaite de belles rencontres, de belles discussions, de belles retrouvailles !

Je vous souhaite de bons soupers, de belles soirées, de beaux moments !

Je vous souhaite un lapin, un oeuf, une poule, une coupe Stanley en chocolat (non engraissant, cette année) !

Je vous souhaite de la prudence, du fun, de l'amour et de longues grasses matinées !

Je vous souhaite de refaire le plein de sommeil, le plein de rire, le plein de douceur, le plein de bonheur !

Amusez-vous ! Sucrez-vous le bec ! Soyez heureux ! Vivez à plein, tout plein, tout plein !!!

Moi je vais puiser mon bonheur chez un petit ange de 6 semaines qui me manque énormément !

À la prochaine...

jeudi 14 avril 2011

Une pieuvre attachante, deux bons films et un comique...

Y a des gens privilégiés dans la vie et j'en suis une ! J'ai la chance de connaitre, ici même dans mon patelin, un individu avec un grand talent et qui sait manier la plume quand vient le temps de mettre des mots l'un à la suite de l'autre pour en faire une histoire intéressante, pour écrire un bon roman, quoi ! J'ai le plaisir (même), d'avoir pris un verre de vin avec lui et sa douce, un beau samedi midi, vers Midi et 10.

Opération Pieuvre, une toute petite chose d'une centaine de pages (ayant ainsi les critères de sélection de l'enseignante du neveu de Pierre H.), se lit avec entrain et énergie. On y retrouve tout ce qu'il faut pour avoir une histoire enlevante, bien écrite, avec des personnages intéressants. Ce roman de la collection Obscure, aux éditions Z'Ailées, est pour un public cible d'ados en mal de sensations fortes.



Je dois être (encore) une ado dans l'âme puisque ce roman a été pour moi un excellent moment de lecture. L'auteur nous amène dans une histoire "noire" en passant de la comédie, à l'intrigue, à l'horreur, dans une écriture qui coule bien et qui punch bien avec de petits (tout petit des fois) chapîtres. Une lecture franche qui laisse  une grande place à l'imagination du lecteur. J'adore ce genre littéraire.

Critique (constructive) à l'endroit de mon ami François : Tu as tout le talent et le potentiel pour écrire des romans qui s'adressent aux adultes. Alors, s'il-te-plait, ponds-nous une histoire digne des grands, et ce, au plus vite. J'ai envie de lire un Bélisle de 300 pages et plus. Allez, yop, yop, yop... au boulot, M. Bélisle !

Passant moins de temps sur Internet, (je persiste, même si je triche un t'tit peu des fois ;o), ça me permet d'occuper mes moments libres à d'autres activités aussi intéressantes. Alors, cette semaine, j'ai écouté deux films qui  m'ont touché pour des raisons complètement différentes, et qui m'ont fait passer par toute une gamme d'émotions.

RED (Retraités extrèment dangeureux) est une belle comédie avec Bruce Willis. D'habitude, j'aime pas trop les films avec Willlis qui nous servent des "pow pow explosifs" à toutes les 3 secondes. Mais sur l'invitation de Gen Blouin je me suis laissée tenter et j'ai beaucoup apprécié. Une comédie, qui compte son lot de "pow pow explosifs" mais qui ne se prend pas au sérieux du tout. Un bon moment de télé.

Et hier soir j'ai écouté le film Incendie, de Denis Villeneuve. Juste un mot : WOW !!! Histoire brutale, histoire touchante, histoire cruelle, histoire incroyable, hitoire réaliste, histoire inconcevable, histoire atroce, histoire triste ! C'est tout ! Peux pas en dire plus. Si vous n'avez pas vu... c'est un must !

Ce soir, spectacle de Philippe Laprise avec mon amoureux. Ça va faire du bien de rire un bon coup. Je vous en reparle !

Je voudrais souhaiter bonne fin de semaine à tous mes ami(e)s bloggeurs qui se rendront au Salon international du Livre de Québec. Je vous souhaite de longues files d'attente à vos kiosques, de belles rencontres et du plaisir à profusion. Je vous envie tellement... Un jour, un jour ce sera mon tour ;o)

À la prochaine...

dimanche 10 avril 2011

Et si l'obsession devenait un défi...

Toute une remise en question ! Tout un cheminement que j'ai fait depuis ma dernière chronique sur mes faiblesses. Je voudrais encore remercier Patrice de m'avoir permis de prendre conscience de mes faiblesses. Pas que je ne les voyais pas... je ne savais pas qu'elles étaient si omniprésentes dans ma vie. Et surtout, je ne savais pas vraiment comment faire pour les amadouer, les apprivoiser, les mettre à ma main, quoi !

En les mettant sur papier, ça m'a permis de voir se dessiner à l'horizon des solutions - toutes simples - j'en conviens, mais des solutions quand même, que je me permets de partager avec vous, au cas ou ça aiderait quelqu'un et que je participerais - moi aussi - au bien être de l'humanité !

Pour faire une longue histoire courte, ma réflexion m'a amenée à prendre conscience qu'en plus de n'avoir aucune discipline, je dirigeais mes pensées et mes objectifs quotidiens dans mille et une directions différentes, et qu'en bout de ligne, aucun n'atteignait d'objectif précis - à tout le moins d'objectifs visibles.

J'ai donc décidé, samedi matin, au réveil, que tout ce que je dirais que je ferais ou que je penserais que je ferais dans la journée... et ben j'allais le faire. J'ai entrepris de dompter mes pensées pour leur faire prendre conscience que je les avais à l'oeil et qu'elles n'avaient plus le choix : si elles prenaient vie dans ma tête, elles devraient prendre forme dans la vie. Voìlà ! Assez songé, n'est-ce pas ?

J'ai donc pris les  décisions suivantes pour ma journée du samedi 9 avril : Aller marcher, ne pas aller sur Internet, faire mon lavage, me mettre sur mon 36 pour écrire mon roman, aller manger au resto avec mon chum et des amis.

Je continuais ma réflexion. Si je ne vais plus sur Internet de la journée... j'avais un problème pour écrire. Je n'avais pas de dictionnaires ni de dictionnaire de synonyme à la maison. J'utilise habituellement ceux disponibles sur Internet. Il devenait impératif que je m'achète des dictionnaires. Et vue que je voulais aussi marcher, pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable. : J'ai donc dit, on va aller chez Walmart à pied, s'acheter ce qu'il faut.  (Je vous rappelle que ces réflexions se font alors que je suis encore couchée...). Ensuite, que je me dis, je me chrome (me pomponne) et je donne rendez-vous à mes personnages pour l'après-midi. Enfin, souper au resto avec des amis. Une belle journée, quoi ;o)

Je me lève donc, full énergie et part pour le Walmart. Il est 8h45. Par prudence, je m'étais apportée un sac à dos pour mettre mes achats... Sage décision ! Je fais l'aller de 4,5 kilomètres en un peu plus de 50 minutes. La madame était en forme et ça y allait par là gaiement vers le Walmart ! Au retour, après avoir enrichi les coffres de M. Larousse, de M. Robert et de M. Fidès et d'avoir allégée mon portefeuille de plus de 70 $ (c'est pas donné des dictionnaires...), je repars, dignement, avec ma cargaison dans mon sac à dos, direction la maison. Le retour s'est fait en 1h05 minute ! Je vous y verrais, vous essayer de marcher avec un poid de 11,2 livres (pesé sur la balance familiale) sur le dos. Je m'imaginais comme un coureur des bois qui traverse les forêts chargés comme un mulet.

Là je m'en voulais... je trouvais ça complètement débile comme procédé, et j'en voulais un peu à Patrice de m'avoir entrainée dans cette prise de conscience ! J'étais bien mieux, avant, quand je changeais d'idées constamment.

Je finis par revenir à la maison, les pieds en compote, les épaules lacérées des sangles de mon sac à dos (que même Hugo Girard, oui, oui, Hugo Girard, aurait eu de la misère à soulever ;o) et la broue dans le toupet (faisait chaud en maudit, si vous voulez le savoir) ! Mais bon, j'ai survécu à ce périple ! J'avais réussi la première manche de mon plan d'attaque contre ma faiblesse majeure ! J'avais disciplinée (un peu) mon Égo. J'étais super fière de moi !

Par la suite, j'ai pris ma douche, me suis huilée, crémée, maquillée coiffée, bichonnée et je me suis rendue dans mon nouveau bureau d'écriture pour un rendez-vous de cinq heures avec les personnages de mon roman.


Je voulais que ce soit comme un rendez-vous gallant, comme une rencontre de la plus haute importance. J'aurais pas été plus trimée pour aller rencontrer Céline, le Pape, Monsieur Muffler, Barack Obama ou Miss Peggy.

Et j'ai passé un après-midi formidable. J'ai commencé par relire ce que j'avais déjà de fait, pour  me remttre dans le bain et par la suite, les idées se sont imposées d'elles-mêmes. J'ai fouillé dans mes dictionnaires (au prix ou ils m'ont coûtés, euhhh,,, disons que j'en voulais pour mon argent ;o), j'ai écrit, écrit, écrit. J'étais vraiment contente de tout ce qui sortait de mon cerveau et qui prenait forme sur mon écran d'ordinateur. Une super de belle journée.

Ensuite, souper au resto en tête-à-tête avec mon chum (les amis ne pouvaient venir) et visite chez la soeur de mon chum (allo Ginette, allo Pascal). 

Aujourd'hui, j'ai dit : laver l'auto (in and out), aller chercher le (nouveau) livre de François Bélisle, et écrire une partie de l'après-midi.  C'est ce que j'ai fait, En prime j'ai eu droit à un verre de vin, à 12h10, gracieuseté de François Bélisle et j'ai fait des muffins aux bananes pour mon chum.

Donc, à partir de cette prise de conscience, faite dans la plus grande lucidité, Internet  deviendra un accessoire...et non une obligation, pour moi. J'ai décidé d'y venir à heure fixe; de 7h à 7h15 le matin, et de 18h à 18h30, le soir. Le reste du temps, je vais travailler sur mes objectifs, écrire mon roman et regarder la vie défiler autour de moi. Comme première expérience, je peux dire que ce fut un réel succès. J'suis ben contente des résultats obtenus.


En tout cas, j'me trouve pas mal bonne ;o)

À la prochaine...

mercredi 6 avril 2011

Quand la faiblesse devient une obsession...

Dans un moment de grande créativité, l'ami Pat a lancé un défi qui mettrait à nue les faiblesses des écrivains de son sélect cercle d'amis blogueurs, dont j'ai l'infime honneur de faire partie ( plus amie qu'écrivain, pour l'instant).

Depuis dimanche que ça trotte dans ma tête ce sujet et comme toute personne qui n'a aucune confiance en elle, je ne savais pas quoi écrire ! Pas que j'ai pas de faiblesse... au contraire, on dirait que je n'ai que cela. Mais j'avais comme un peu honte de mettre ces travers par écrit, me disant que je ne ferais plus le poids parmi cette brochette d'écrivains (amateurs et professionnels) qui pourraient venir lire la vision que je présenterais de mes faiblesses.

Mais après je me suis dis que je m'étais lancée dans cette belle aventure en étant pleinement consciente que j'avais beaucoup (beaucoup, beaucoup) à apprendre de ces gens et qu'à défaut d'être honnête avec moi, je me devais de l'être avec eux.

Qui sait, en ouvrant mon coeur et mettant mes tripes sur la table, j'arriverais à surmonter certaines de ces faiblesses.

Ma faiblesse la plus importante, celle qui me mine par en dedans, celle avec laquelle je me bats (presque) chaque jour : la discipline. J'ai zéro discipline. Je déteste la discipline. Je suis allergique à toute forme d'autorité, qu'elle vienne des autres ou de moi.  J'ai le bonheur d'avoir un emploi (au bureau) avec des gens merveilleux qui ne m'impose aucune façon de travailler. J'ai la chance d'être capable de faire mon travail en étant autonome, et c'est pourquoi j'adore ce travail.

Ma hantise de la discipline, me vient sûrement d'une autre vie ou tout était stricte, sévère, obligée, imposée, ordonnée. Toute cette haine pour la discipline fait en sorte que je ne fais plus la part des choses, que je ne dose plus... dès qu'une situation me semble obligatoire, elle me fait fuir. Et cette situation persiste dans tous les aspects de ma vie. J'ai du faire 15 000 régimes que je lâchais à la première occasion, 20 000 programmes de conditionnement physique et 10 000 méthodes d'organisation de mon bureau à la maison. Je déteste faire le ménage, la vaisselle, le lavage.

Côté écriture, je me trouve milles et une choses à faire plutôt que de me mettre sérieusement à la rédaction de mon roman. Je vous donne pas les raisons, mais vous pouvez les imaginer. Et les plus courantes, font en sorte que je me remette constamment en question.

Toutefois, quand je m'y mets, mes faiblesses au niveau écriture sont nombreuses... J'ai la bonne défaite de me dire que j'en suis à mes premiers balbutiements et que je me suis lancée dans ce périple sans vraiment de méthode ni de structure. Alors, j'excuse mes faiblesses par la bande ;o)

Une de mes faiblesses : je fais des phrases trop longues, je tourne autour du pot, j'étire en longueur. Quand ça me pogne et que je m'en rends compte, me revient à l'esprit une phrase clé que m'avait dite, un jour, le directeur de l'informartion du journal ou je travaillais (Tu te rappelles, François, de Monsieur Roy) : "Une phrase c'est un sujet, un verbe et un complément". Point, barre, pas plus compliqué que ça. Mais des fois, avant de me rendre compte que je suis partie dans mes grandes élugubrations, je perds un temps fou à réécrire mes phrases et l'inspiration me rend bien la monnaie de ma pièce.

Une dernière faiblesse dont je vous ferais part dans ce billet (pas que ce soit la derniere que j'aie... mais je tiens à ce que vous gardiez une bonne impression à mon endroit... une fille a quand même une fierté), c'est l'impatience. Je voudrais que tout soit fini avant de commencer. Je voudrais voir mon livre sur les tablettes, là, maintenant, tout de suite.

Ce que je déteste quand je lis un roman, je ne le mets pas dans le mien: de longs paragraphes, trop de personnages, des descriptions interminables (je veux savoir pourquoi l'oiseau rentre dans la forêt, mais j'ai pas besoin de savoir la couleur des feuilles des arbres, la quantité de grenouilles dans l'étang, le nombre de coup d'ailes qu'il a eu besoin pour passer d'un arbre à un autre et la quantité de brin de pailles qu'il a eu besoin pour faire son nid).

Je sais pas si je suis récupérable ! Je vais aller lire ce que mes compagnons-blogueurs ont écrit sur le sujet. Peut-être (sûrement) que je vais y trouver des trucs. Et dès maintenant, je travaille sur mon problème de discipline. C'est comme une épine en dessous de mon pied. Ça fait un mal de chien et ça m'empêche d'avancer vers mon objectif ultime : faire publier mon premier roman.

Je sais que je vais y arriver... il le faut !

lundi 4 avril 2011

J'ai une nouvelle bébelle...

En fin de semaine, j'ai refait (pour la deuxième fois en un mois) l'aller-retour Val-d'Or-Montréal-Val-d'Or pour aller re(voir) la petite merveille qui compte maintenant comme le premier descendant de ma descendance de deuxième niveau. Bref, pour aller me gâter et passer un temps merveilleux avec Adrien. Je ne sais pas ce qu'il m'a fait, ce qu'il a déclenché en moi, mais je suis en amour avec ce petit être de 25 jours. Il me rend complètement gaga !

Papie Sydney, Mamie Lucille et le beau Adrien
J'ai aussi eu le plaisir de connaitre la belle Gen et son copain Vincent chez mon photographe de fils Patrick. J'étais bien contente de les rencontrer même si ce fut très rapide comme rencontre. Vous savez quand l'artiste est à l'oeuvre, faut pas le déranger ;o)

Bon, outre le fait que j'ai refait le plein de bisous et de calins pour au moins 3 semaines, (et ce pour la deuxième fois dans le même mois) mon périple en terre montréalaise m'a aussi permise de devenir l'heureuse propriétaire d'un outil, qui je l'espère, saura m'aider à mettre de l'avant mon projet - grandiose, mais combien important pour moi - d'écrire mon roman. Je me suis acheté un ordinateur portable. Et oui, madame se modernise et se met au goût du jour. Donc, un portable (j'aime mieux dire laptop... c'est un beau mot, laptop ;o) qui va me servir uniquement - UNIQUEMENT - U N I Q U E M E N T - pour écrire mon livre.

Je l'installe dans mon petit salon (vert), dès que j'aurais acheté une table pour l'y déposer et je m'enferme chaque jour - CHAQUE JOUR - C H A Q U E  J O U R - pour écrire. J'y mets même pas l'Internet afin d'éviter toutes distractions ou tentations ;o)

Alors, c'est un message aux habitants de la terre entière, ne me cherchez pas entre 18h et 19h30, je suis occupée.

Déjà je suis en retard sur l'itinéraire que je m'étais fixée ce matin. Je m'étais dit : de 18h à 19h30... on s'installe au laptop (et oui, j'avais dit laptop, j'vous l'ai dit que j'aimais mieux ce mot ;o) et on écrit le roman. Il est 19h23 et je suis encore sur mon ordinateur et j'ai toujours pas écrit encore. Mais bon, je vais m'y mettre ! Sure et certain 1h30 d'écriture ce soir... promis, juré... euh non, juré, craché... euhh...c'et quoi la mosus d'expression dont...  ah oui,  croix bois  crois de fer, si j'm'ens j'vais en enfer (ouff, l'ai eu ;o)

Alors, je vous quitte... mais avant je vais aller poster les photos de mon petit Adrien que j'ai prise en fin de semaine ! Pour votre plaisir, mais surtout pour le mien. Et ensuite, promis.. juré... j'vais écrire !

À la prochaine...