mercredi 30 mars 2011

Un goût de changement ...

Je vous mentirais si je vous disais que mon expérience judiciaire ne m'a pas shaké... et je ne suis pas menteuse ! M'a shaké, pas dans le sens ou je ne me sentais pas à la hauteur ! Au contraire. Je me sentais en pleine possession de mes  moyens, j'étais prête à aller au batte et à me défendre bec et ongles contre l'ennemi. J'étais prête, trop peut-être ! Je me suis fait rabattre le caquet, je me suis fait rasseoir parce qu'on ne se battait pas à armes égales. Moi et mon sens de la justice et ma conviction que la loi était juste ! Lui avec sa horde d'avocats et son arrogance qui lui sortait par toutes les pores de peau.

J'ai décidé de tout abandonné ! J'ai décidé que je lâchais prise, que je jetais les armes. Ce type, cet énergumène ne vaut vraiment pas la peine que je me laisse détruire par son arrogance. Je n'en parle plus right now ! Je ne prononce plus son nom, je l'efface de ma mémoire, je le flushes dans les toilettes... comme l'étron qu'il est !

J'ai aussi décidé que c'en était assez de cet aura de stresse qui tourne autour de moi. J'ai décidé (et je crois qu'il était à peu près temps) que je mettes un peu de changement dans ma vie.Je commence à l'instant même par le nouveau look que je donne à mon blogue ! Un peu plus dégagé, un peu plus aéré, un peu plus zen !

Ensuite, j'ai décidé de m'acheter un portable que je vais installer dans la pièce que je m'étais coocoonée quand  j'ai transformé la chambre de ma fille en petit salon zen. Je vais m'y installer une mon portable, un petit bureau tout simple, un clavier et une souris (j'hai ça, moi, écrire directement sur le portable... trop compliqué ;o). Et c'est là que je vais me réfugier pour écrire mon roman. Mon bureau de travail est toujours bordélique et j'arrive pas à trouver l'environnement idéal pour écrire. Je me sens envahi par les papiers, les factures, les dossiers... et comme je n'ai pas (beaucoup d'ordre), ben c'est toujours le bordel ! Alors, mon petit salon zen fera un merveilleux havre de paix et de tranquillité pour me remettre - au plus vite - sur mon projet de vie : mon roman Parfum de rage.

Je vous l'ai tu dit que maintenant j'ai un autre rêve ! Participer à un salon du livre... en tant qu'auteur. Alors, si je veux y arriver avant de trépasser, faut que je me mette au travail au plus sacrant !

Et ce que je trouve magnifique, c'est le nombre de personnes qui me suivent régulièrement sur mon blogue. Je trouve ça captivant, je trouve ça enlevant... et je trouve ça un peu épeurant, dans le sens que je voudrais pas que ça arrête, jamais, jamais !

Je voudrais donc vous remercier, tous autant que vous êtes, de prendre le temps de venir faire un petit tour chez-moi, dans mon univers Si je pouvais, je vous remercierais personnellement pour ce merveilleux cadeaux que vous me faites. En venant visiter mon humble blogue, vous me donnez les ailes dont j'ai besoin pour poursuivre cette belle aventure.

J'ai vraiment un goût de changement qui chamboule mes pensées, ces temps-ci. Est-ce l'âge ? Est-ce mon nouveau statut de Mamie? Est-ce le printemps ? Je ne sais trop. Mais je veux tout plein de changements... et je le veux maintenant. Je vous en reparle ;o)

En attendant, laissez-moi un petit message et j'y répondrai avec plaisir.

À la prochaine...

mardi 29 mars 2011

Je dois me faire violence...

Je dois me faire violence, pour contenir la rage qui a pris naissance en moi, aprés que la décision ait tombée dans cette saga qui me ruine la vie depuis 3 ans !

Je dois me faire violence, pour étouffer les mots, les sales mots, les gros mots qui ont pris forme dans ma gorge devant l'état d'injustice ressentie dès que les portes furent fermées.

Je dois me faire violence, pour desserrer les poings, pour décrisper la machoire, pour sécher mes larmes, pour retrouver mon souffle.

Je dois me faire violence, pour calmer mon Égo furieux, pour relever mon Égo vaincu, pour apaiser mon Égo blessé, pour consoler mon Égo dépité.

Je dois me faire violence, pour avaler la pilule (encore), pour ne pas flancher (encore), pour oser relever les manches (encore), pour ne pas abandonner le combat (encore).

Ainsi toutes sorties de mon cerveau, ces émotions pourront maintenant vivre en dehors de moi. Elles n'auront plus d'incidence dans ma vie, puisqu'elles n'y seront plus alimentées. Je décide, à l'instant même, de reprendre le contrôle entier de ma vie. Je laisse donc là, sur mon blogue, toutes mes émotions négatives qui ont cheminées en  moi et qui ont pris naissance aux environs de midi, heure à laquelle la décision est tombée.C'est fou comment on peut se chambouler la vie en l'espace de deux heures. Deux heures dans l'enceinte de la justice et mon Égo ainsi que mon âme en sont resssortis abattus, anéantis, décontenancés.

Je veux remercier tous ceux et celles qui ont eu des pensées pour moi aujourd'hui. Si vous saviez comment je me sens privilégiée de vous avoir dans ma vie. Vous êtes responsables (en partie) de tout ce qui m'arrive de beau dans ma vie. Pour moi, vous êtes précieux.

On dit - et j'y crois - qu'il n'arrive jamais rien pour rien dans la vie et que les événements que nous vivons ont leur raison d'être ! Ce midi, je maudissais ces deux théories, je ne les voulais pas miennes, j'en haissais ses auteurs. Ce soir, je suis plus pausée dans mes réflexions et je sais - non, je suis convaincue - que quelques choses de bien ressortira de cette (incroyable, non effarente, non dégueulasse) histoire ! Pour l'instant, je n'ai aucune idée de ce que ça peut être, mais je sais que ça viendra. C'est certain !

Je vais dormir là-dessus ! Il le faut... ça fait 3 jours que je n'ai presque pas mis la tête sur l'oreiller parce que je devais me préparer pour l'audition de ce matin.

Je vous laisse sur ce et je veux encore vous dire merci de faire partie de ma vie... Pour moi, vous êtes aussi essentiels que l'air que je respire, que la nourriture que je mange, que l'eau... non que le vin que je bois ;o)

À la prochaine...

dimanche 27 mars 2011

Seigneur, Seigneur, kessé tu veux j'te dise...

Cher mon Dieu,

Tu sais, toi et moi on a une relation particulière ! J'ai (souvent) tendance à me tourner vers toi et vers les acolytes qui tournent autour de toi, qui parsèment l'Univers d'ailes blanches et de lumières divines, quand ça va mal dans ma vie, quand j'ai un urgent besoin de "guidance", quand je me sens (un peu) sur le bord du précipice.

Depuis quelques années, on dirait que j'ai frappé le jack-pot, que j'ai gagné à la loterie céleste, que je suis dans tes bonnes grâces. Ma vie va quand même bien ! Mes enfants sont magnifiques, j'ai même eu droit à une prime extraordinaire depuis que tu m'as envoyée cette belle petite chose toute mignonne, le beau Adrien. Mon chum, malgré que ce soit un mâle tout ce qu'il y a de plus typique, est un être merveilleux en soi - parce qu'il arrive à m'endurer 24 heures par jour ! Mon travail me comble à tout point de vue. En général, mes affaires vont bien et ma vie de ménopausé est somme toute assez confortable. Pour que le tout soit 'parfait', me manquerait juste un peu de discipline et de persévérance pour écrire mon roman de façon intensive, régulière et constante.

Alors, tu dois bien te demander, cher Seigneur, kossé que j'veux ben te demander à matin, alors que t'a sûrement d'autres chats à fouetter. Je comprendrais que tu n'aies pas de temps pour moi parce que tu dois en avoir plein les bras avec le Japon, la Lybie, les jumeaux de Céline, Justin Bieber, le Colisée de Québec et les élections fédérales.

Mais tu me connais. Je me tourne vers toipareil (et j'insiste même un peu) parce que pour moi c'est très important. Demain, lundi le 28 mars 2011 va se dérouler un événement qui me fout un peu les boules (voilà mon p'tit côté français qui ressort), et qui pèse lourd sur mes t'tites épaules. Demain, 28 mars, je pense que je vais disputer le combat de ma vie, comme a déclaré Lucian Bute juste avant d'affronter Brian Magee - en passant Bute l'a remporté par arrêt de l'arbitre au 10e round.

Bon, je m'égare ! Donc, demain gros match au Palais de Justice de Val-d'Or. Entre moi et "tu-sais-qui". Un match à finir. Un match inégal, parce qu'il est plus "gros que moi" (au propre comme au figuré...). Mais un match que je veux gagner parce qu'il faut que cette saga - qui dure depuis 32 mois - s'arrête, parce qu'elle a assez duré. Je me sens comme au 12e round, encore debout, fatiguée, épuisée, loin d'être solide sur mes pattes,  mais déterminée plus que jamais à livrer ce combat ultime jusqu'au bout, jusqu'à l'arrêt du match, jusqu'à ce que la cloche annonce la fin des hostilités !

Je sais que tu as mis ce type (cet énergumène, je devrais dire) dans ma vie pour une raison : que je puisse comprendre certaines choses de la vie... choses que j'ai bien enregistrées, crois-moi ! On m'y reprendra plus (je ne dis pas jamais... mais en tout cas, je vais être plus prudente dans mes élans de femme d'affaire à l'avenir),
Alors, donc, demain ! Si tu pouvais te mettre sur mon cas, quelques minutes dans ta journée - qui, j'en suis convaincue, doit être super chargée, Au cas ou tu les aurais perdu de vue, les chefs des parties politiques se promènent toujours en gros autobus... tu devrais pas les manquer !

Si tu pouvais m'envoyer une dose d'énergie nécessaire pour passer au travers de cette journée "mémorable", je t'en serais éternellement reconnaissante (bon, en fait, dans la mesure d'un éternel humain, bien sur). Guide mes paroles et mes actions, éclaire toutes les décisions qui seront prises... et pardonne-moi d'avance pour toutes les insanités que je vais penser (parce qu'il y en aura) à l'endroit de "tu-sais-qui". Je ne suis pas encore rendue au stade de présenter l'autre joue avec ce type !

Je te remercie énormément de m'avoir écouté et je te remercierais demain soir pour ce que tu auras fait pour moi... si tu es au poste et a répondu à mon appel, bien entendu ! J'ai bon espoir que tu m'aides dans cette démarche ! À défaut de pouvoir te présenter toi-même, tu peux toujours m'envoyer un  subalterne... qui aura aussi plein pouvoir sur la situation.

Seigneur, Seigneur, kessé tu veux j'te dise ! Je le sais, je me suis mise dans ce pétrin avec full bonnes intentions... mais je ne pouvais pas m'imaginer que dans ta grande bonté, tu avais aussi créé des humanoîdes qui n'ont pas de conscience, pas de parole, pas de couilles ! C'est une des grandes leçons que cette histoire abracadabrante m'aura apprise.

Si tu pouvais aussi inviter tous tes anges humains - qui sont par la bande mes ami(e)s réels et virtuels - à avoir une bonne pensée pour moi, je suis certaine que cette belle énergie me sera aussi d'un grand secours, tout au long de cette journée qui s'annonce longue, longue, longue !

Je me sens mieux... Je te laisse, j'ai un dossier (monstre) à compléter ;o)

lundi 21 mars 2011

Tu as fermé tes yeux...

Les larmes coulent de mes yeux, sans que je n'y puisse rien, sans que je les arrête, sans même que je m'en soucie. Toute la journée je les aies refoulées, ravalées, fait taire. Fallait être forte, fallait être alerte, fallait être sur le qui-vive. D'autres que moi avaient aussi des larmes qui coulaient, des yeux qui gonflaient de peine, des rides d'incompréhension traversant leurs fronts. Ces pleurs, ma belle, étaient pour toi !

Tu as décidé, par un beau dimanche ensoleillé, au lendemain de ton 15e printemps, de fermer tes yeux à tout jamais, de ne plus vivre ta peine, ta tristesse, ta solitude. Tu as fermé tes yeux à jamais, en faisant l'impensable, l'incroyable, l'irréparable. Tu as fermé tes yeux à jamais, laissant derrière toi, on s'en doute, des proches dévastés, mais aussi, une communauté étudiante sous le choc, des professeurs ébahis, sans défense, le coeur brisé, le souffle coupé.

Je ne te connaissais pas beaucoup. Je te connaissais plus par ton nom, inscrit sur une feuille de couleur saumon, qui me passait entre les mains quatre fois par jour. Un nom sur une feuille de présence. C'était  mon lien avec toi ! Mais d'autres, Danielle, Josée, Jérôme, Chantal, avaient un attachement particulier avec toi, ils te connaissaient... même si tu étais toute discrète, toute effacée,  toute retenue.

Ton départ a laissé un grand vide dans le coeur et dans le tête de plusieurs des personnes que tu cotoyais quotidiennement. Tout au long de la journée, on a pu voir se tisser une solidarité, belle à voir et touchante, qui faisait venir les larmes aux yeux.

Mes larmes coulent encore et je n'y vois plus rien. Je veux juste te dire en terminant que même si je ne te connaissais pas beaucoup, ton départ m'attriste énormément et j'ose espérer que tu as pu trouver la paix et la sérénité qui te faisaient défaut ici-bas. Je te le souhaite de tout coeur. Au revoir, ma belle ! 

samedi 12 mars 2011

Voici bébé Adrien...

Je vous présente Adrien, mon petit-fils ! Il est né hier le 10 mars 2011, à 15h. Il est une merveilleuses petite chose !

Je l'adore ... xox

jeudi 10 mars 2011

La Mamie en moi se réveille...


Bébé Adrien dans le bedon
de sa maman Sophie. Photo
prise par son papa Patrick.

Coup de téléphone à 2h14 cette nuit ! D'une oreille toute endormie j'ai entendu mon fils, Patrick, ce grand gaillard de (presque) 35 ans, me dire que son fils était en chemin. Sophie et lui sont arrivés à l'hôpital vers 11h, hier soir et le travail se faisait lentement  mais sûrement.

Il est 7h14... toujours pas eu d'autres nouvelles. Les 500 km qui nous séparent pèsent sur mon coeur de maman. Je voudrais être près de lui, près d'eux... mais au fait, non, c'est mieux que je sois pas près ! Suis tellement excitée, que je crois que je leur taperais sur le système (ceux qui me connaissent savent comment je peux être exubérante quand je suis excitée -posivitivement, j'entends. Quand c'est négatif, je suis une vraie plaie ;o)

Alors, pendant que ce petit être travaille (très fort) pour faire son entrée dans ce monde, je vais ronger mes freins et aller travailler (pas très fort, hi hi hi), en sachant pertinament bien que ma tête sera à Montréal... pendant que mon corps essaiera de fonctionner à Val-d'Or.

Je vous tiens au courant ! Mamie doit aller se préparer ;o)

Bonne journée...

samedi 5 mars 2011

Quand la recherche devient aussi intéressante que l'écriture...

Bon, j'en suis à ma première expérience dans ce merveilleux monde de l'écriture ! Quand je me discipline et que je m'y consacre entièrement... sans me laisser distraire par mille et une choses, ça va bien. Ça va très bien même !

Aujourd'hui, après une bonne nuit de sommeil, je m'étais donnée comme objectif de travailler sur mon roman. Et je l'ai fait ! Mais j'ai pas écrit beaucoup... j'ai fait de la recherche. Premièrement, j'ai utilisé la méthode de Dominic Bellavance, pour mettre de la vie autour de mon personnage, de lui donner du relief, de mettre son univers en perspective ! J'adore le resultat ! Iris est tout un personnage et avec cette méthode, je lui ai trouvé d'autres penchants, d'autres intérêts, d'autres inclinaisons. J'ai quand même laissé la porte ouverte pour de nouvelles trouvailles pour cette femme assez particulière ;o)

Mais par dessus tout, ce qui m'a plu dans ma journée de "concentration littéraire" c'est sans contredit le temps que j'ai mis dans le processus de la recherche, de fouiller sur le Net, d'explorer d'autres avenues à partir d'un mot, d'une phrase, d'une idée. Si ça se peut, j'aime mieux faire des recherches sur mes personnages, que d'écrire sur eux ! Non, je n'irais pas jusque là, mais c'est vraiment intéressant à faire.

Étant perfectionniste un peu sur les bords, des fois je cherche (presque) jusqu'à l'obsession. Par exemple, j'ai passé presque 90 minutes pour tenter de trouver un sermon dit par un curé fondamentaliste en 1970 (sur le péché, le diable, la perversion des jeunes, etc, etc, etc). Il devait bien y en avoir encore de ce genre de phénomène en 1970.  J'en ai besoin pour voir jusqu'ou pouvait aller la religion dans son discours... et j'ai pas trouvé ! Je sais que je vais poursuivre jusqu'à la victoire ;o)

Une journée fort bien remplie, bercée par la musique zen que j'écoute en boucle sur le site Radio Zen. Du bonheur pour les oreilles, pour l'esprit, pour l'âme, pour le coeur ! Je me donne rendez-vous demain pour la suite de cette belle aventure qu'est l'écriture de mon roman. Là, je vais prendre un t'tit verre de vin blanc. J'pense que je l'ai amplement mérité.

À la prochaine...

mercredi 2 mars 2011

Étrange la vie...

Des fois, j'essaie de comprendre comment la nature humaine est faite et je suis certaine que je ne vous surprendrais pas en vous disant que j'y arrive pas. J'essaie de savoir pourquoi un mot, une phrase, un appel téléphonique, une nouvelle peuvent faire en sorte de chambouler tout votre équilibre mental et vous mettre dans un état de fragilité avancée ! L'instant d'avant la vie est belle !!! L'instant d'après la découragement s'installe...

C'est ce que je vis actuellement. Pas que je déprime et que j'ai des idées noires (non, non. non ;o) Mais j'ai reçu un appel ce matin qui a été suivi par un autre et ça fait en sorte que ma journée est (excusé le gros mot)... fuckée !

Cette nouvelle, comme une épidémie de vermine, a fait son chemin dans mon cerveau et a mis de la rage et de la colère en moi. Je suis enragée que des personnes utilisent toutes les manigances possibles et imaginables pour faire du tort, pour ne pas dire du mal (moral tout au moins, sinon, financier peut-être !!!! ) aux gens.  Et là, je me questionne, et la je m'interroge, et là, je suis remplie de doute et de crainte et de peurs.

Je brosse peut-être le tableau plus noir qu'il l'est en réalité ! Disons que là, mon jugement est à + 1000 au niveau de l'intensité négative. Je ne peux élaborer plus sur le sujet, parce que toute cette histoire - qui dure depuis 30 mois - est actuellement dans les mains de la Justice. Mais je voulais juste partager avec vous la fragilité dans laquelle je me sens actuellement. Je sais que je vais passer au travers... je passe toujours au travers. Mais j'ai juste hâte que cette émotion, négative, néfaste, indigeste, disparaisse et cesse de me tenailler quand je pense ou que je dois m'occuper de cette affaire. Juste pour vous dire, j'en ai des hauts-le-coeur !

Je me sens vulnérable... je me sens isolée... je me sens seule... je me sens émotive !!! J'ai comme une écoeurantite aigue chronique de cette histoire qui ne finit pas de finir. Mais je ne veux pas lâcher ! C'est le but de la partie adverse... de me faire flancher pour que j'abadonnce !!! Ne suis-je pas celle qui se vante (à tort ou à raison) d'avoir une "maudite tête de cochon" ! Je ne suis pas pour lâcher le morceau... je porterais atteinte à cette réputation que je me suis construite ;o)

J'avais juste besoin de vous en parler, de vider mon sac, de libérer mon esprit de cette !%?%$&*&?*&**& d'histoire qui monopolise chaque cellule de mon corps aujourd'hui ! 

Si jamais vous aviez un surplus d'ondes positives... pensez à moi !

Merci... simplement merci.

À la prochaine !