samedi 22 janvier 2011

Quoi faire quand...

Quoi faire quand quelques personnes chères à ton coeur souffrent et ont de la peine, et que tu te sens impuissante face à cette souffrance et à cette peine  ?

Quoi faire quand tu voudrais mettre des mots dans la bouche de ces personnes en étant convaincue que ces mots deviendraient une libération, une pause, un sursis dans ce qui fait mal ?

Quoi faire quand tu te sens misérable de ne pouvoir rien faire, d'être là à espérer un changement qui ne vient pas, parce que tu t'es promis de ne plus intervenir dans la vie des gens... sans qu'il ne te le demande ?

Quoi faire quand le froid devient plus froid et le coeur devient plus lourd, parce que tu ne comprends pas que l'on puisse ne pas vouloir penser différemment pour (enfin) vivre différemment ?

Quoi faire ???

Rien faire et attendre, simplement !

Alors, j'attends ...

7 commentaires:

  1. je t'aime maman.. je sais que ce texte est pour moi ce n'étais juste pas le bon moment d'en parler...je t'aime et je vais t'appeler ce soir promis :) merci pour tout

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  2. Tu prends la plume et tu écris ce que tu voudrais dire et entendre.

    Et peut-être qu'un jour tu pourras le faire lire à la personne concernée.

    Ça libère et, parfois, ça aide à faire comprendre la situation.

    Bon courage... à vous deux!

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  3. Il faut attendre le bon moment, une opportunité qui peut arriver sans crier gare. Attendre et être patient... ;)

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  4. Parfois, souvent, juste être là, c'est assez.

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  5. @ Vanessa : Je t'aime et je suis toujours là... si jamais t'as besoin ;o)

    @ Gen : Merci du conseil. Je vais le mettre en pratique.

    @ Jeff : C'est ce que j'ai fait et ça porté fruit. Maintenant tout va mieux. Merci

    @ L'Impulsive : Difficile à faire mais c'est ce que j'essaie (et je réussis quand même bien) de faire depuis le début de l'année. Nouvelle résolution 2011. Merci.

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  6. Quelle belle réflexion...

    Tu dis que tout va mieux maintenant, alors tant mieux.

    Moi ce que je trouve le plus difficile c'est de voir que certaines personnes se complaisent dans le malheur, elles le tricotte serré autour d'elle, s,en font une parure, au début on veut les aider, on a de la peine pour elles, puis on découvre qu'elles repoussent l'aide, le malheur est devenue leur outil principal pour faire pitié, atirer l'attention, etc alors pourquoi s'en départir ?

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  7. Je dirais même qu'être simplement là, quelque part alentour, en faisant un petit signe discret, «coucou, tu sais que je suis là au cas où si...», ça vaut un million de conseils.

    En tout cas, ce sont ce genre de preuves d'amitié/d'amour qui m'ont le plus soutenu.

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