Je viens de recevoir par courriel mon premier refus pour la publication d'une histoire qui s'adresse aux enfants de 6-9 ans.
Suite à la réception de votre manuscrit « L’incroyable aventure de notre comité de sélection en a pris connaissance.
Votre manuscrit n’est pas sans intérêt, l’écriture est correcte et l’idée originale.
Cependant, notre comité de lecture n’a pas accroché aux récits.
Cependant, notre comité de lecture n’a pas accroché aux récits.
Une autre maison d’édition pourrait être intéressée.
C’est avec regret que nous devons donc vous annoncer
que votre manuscrit n’est pas retenu pour publication...
Voilà ! C'est tout...
Je sais pas trop quoi penser. Je ne suis pas déçue - en fait, oui un peu - mais pas tant que ça ! Je vais l'envoyer vers d'autres maisons d'éditions. Déjà qu'ils ont trouvé mon histoire originale... je vais focusser sur ces mots ;o)
Ce n'est que la première fois... Il va sûrement y en avoir d'autres (pas trop, j'espère...!
À la prochaine...
Plein de grandes oeuvres et/ou de succès populaires ont été refusés au départ. Je ne dis pas que c'est ton cas (je n'ai pas lu). Mais quand même, un refus ne garantit vraiment pas la suite des choses. Surtout que tu as de bien jolis commentaires. :) Ne lâche surtout pas.
RépondreSupprimerJe me souviens m'être dit lors de l'envoi de mon premier manuscrit «Tu sais, tu ne l'auras pas plus facile que les autres, mon Pat.»
RépondreSupprimerLes refus, c'est malheureux, mais c'est le passage obligé.
La différence, m'étais-je dit à l'époque, ce sera ton acharnement...
Alors vas-y Lucille, n'hésite pas: soumets encore et encore.
lol! Tsé, on reçoit tous plein de refus. La preuve : je sais quelle maison d'édition t'as refusée, juste en lisant cette lettre! hihihihi ;)
RépondreSupprimerAllez, un moment donné, le ratio refus/acceptation va se placer! :)
Passage obligé, comme dit Pat.
RépondreSupprimerÀ ce stade, ce n'est plus tellement le talent qui compte mais la persévérance.
C'est une lettre de refus classique, il ne faut pas lâcher et continuer à foncer!
RépondreSupprimerIl n'y a qu'une manière de voir notre premier refus : c'est une bonne nouvelle. Ben oui! Parce que ça veut dire que tu as écrit un manuscrit et que tu l'as envoyé. Donc, tu es sur la bonne voie. Persévère, Lucille, c'est la clé. XX
RépondreSupprimerP.S. Garde tes lettres de refus. Tu pourras rire quand tu deviendras une auteure riche et célèbre. LOL
Je confirme tout ce qui s'est dit, ici. Des lettres de refus, ça fait partie du métier d'écrivain. Il faut apprendre à vivre avec. Certaines sont parfois plus dures à digérer que d'autres, mais bon, la vie continue. Il faut se dire qu'il y en a d'autres, des maisons d'éditon ! Y faut pas lâcher ! Envoie-leur ton texte, l'une d'entre elles sera sûrement intéressée par ton récit, non ? ;-)
RépondreSupprimerIl faut persévérer, ne pas abandonner. Si tu crois dur comme fer que ton histoire peut plaire à cette tranche de lecteurs, alors continue d'envoyer ton manuscrit. On ne sait jamais... ;)
RépondreSupprimer@ Tous ! Merci beaucoup ;o)
RépondreSupprimerC'est certain que je vais persévérer... disons que par chez-nous on me qualifie de "tête de mule" qui ne s'en laisse pas imposer ;o)
Alors, c'est certain que je vais rappliquer...
Je suis désolée de ton refus :( ça ne dois pas être facile à digéré. Mais tu es persévérante, c'est génial! :) Tiens nous au courant!
RépondreSupprimerC'est la vie, rare sont les auteurs qui commencent par un oui.
RépondreSupprimerContinue de croire en toi et surtout d'y prendre plaisir.
Il ne faut pas lâcher, les refus font effectivement partie de la vie. Et puis vous avez déjà écrit quelque chose, vous êtes à bon point, il ne reste qu'à publier... vous avez fait un bon bout de chemin vers la réalisation complète de votre projet.
RépondreSupprimerBravo et bonne continuation!
Curiosité : un auteur qui a été publié (à compte d'éditeur) après avoir été refusé cent-soixante fois :
RépondreSupprimerhttp://refusdediteurs.webs.com