mercredi 22 août 2012

Non, mais... si cette semaine peux-tu finir !!!

Y a des jours, comme ça ou on se dit : « J'aurais aussi bien fait de rester couché, moé à matin ». Actuellement, c'est le 3e jour où je me dis ces paroles qui prennent tout son sens quand j'analyse les trois derniers 24 heures que je viens de  traverser. Vous savez, le genre d'événement qui vous font rager... mais qui vous impose de garder le sourire sous peine d'envenimer davantage les choses !

Photo prise sur le site :http://lesommelierfou.com
/2012/04/07/les-couleurs-du-vin-colours-of-wine/
Prenez-vous un petit verre de vin, blanc ou rouge (c'est à votre guise, le mien est blanc), que je m'épanche sur votre épaule pour vous raconter ! Si vous ne me plaignez pas après cela...

Je vous mets dans le contexte... L'an passé j'ai eu le malheur d'avoir un locataire « bougon » qui a fait du grabuge dans un de mes logements. Vous dire comment je déteste cette personne... non, je ne vous le dirai pas, parce que je ne veux pas dire de gros mots sur mon blogue. Vous savez, la chanson de Dominique Michel... « J'haïs l'hiver... maudit hiver » avec le timbre de voix et l'expression faciale, ben moi je la chante à chaque fois que je pense/rencontre/pense/croise/pense à cet ignoble personnage, en changeant le mot « hiver » pour « son nom » ;) Juste pour vous donner une idée, voyez quelques photos de ses oeuvres. Ça vous donne une idée comment je peux le porter sur mon coeur ! Nul besoin de vous dire que cet ignoble personnage (et le mot est tendre), n'est ni solvable, ni retrouvable et que j'ai fait mon deuil de tous recours contre lui !

Lundi, je m'en allais au centre-ville et j'arrête à un quatre stop. Je tourne et passe près d'une auto bleue. Je vois le conducteur qui me fait un doigt d'honneur et j'aperçois sa « face de cochon »... oups (désolée...). Eh oui, mon ancien locataire ! Cet être ignoble me doit de l'argent, nous a fait dépenser des milliers de dollars pour rendre son logement salubre, n'a aucune cenne qui l'adore et se permet de me faire un doigt d'honneur ! Hummmppppppphhhh !!! (Okay, calme-toi Lucille... Tu as dit que tu serais zen pour le reste de tes jours... :) Je suis partie après lui... mais je l'ai perdu de vue !!  Bon okay, je n’ai aucune idée ce que j'aurais fait si je l'avais attrapée (il mesure 6 pieds 3 pouces, c'est quand même 12 pouces de plus que moi). Mais bon, je suis quand même partie après lui... question de principe ! Non mais tsé, un doigt d'honneur !

Ça c'était lundi !

(Laissez-moi prendre une gorgée... j'en ai vraiment besoin :)

Mardi matin, 6h51 du matin. Je me dirige à l'extérieur de la maison, vers le motorisé stationné dans la cour, pour aller chercher des vêtements qui y étaient encore ! Je suis en mini-jaquette... genre ! Je mets donc mes sandales et un mini-manteau, qui cache tout juste la mini-jaquette que j'ai sur le dos. Je sors et me dirige allègrement vers le motorisé, va chercher le linge et reviens dans la maison... Euh, non, je ne suis pas revenue dans la maison... JE M'ÉTAIS EMBARRÉE DEHORS, avec ma mini-jaquette et mon mini-manteau, qui en fait ne cachait absolument rien !!! De l'avant et de l'arrière, les deux portes étaient solidement barrées, aucun voleur de la terre n'aurait pu rentrer chez moi... pas plus que moi d'ailleurs. Je vous rappelle, je n'ai ni clé d'auto, ni cellulaire, ni sacoche... juste ma mini-jaquette et moi, dehors, par un froid sibérien !!

Je regarde le panier où devait se trouver tout le linge que je cherchais (qui en fait était dans la salle de lavage... à l'intérieur) et n'y trouve qu'une paire de shorts, que j'enfile promptement... sauvant ainsi ma vertu et ma réputation auprès des voisins qui ont plus l'âge d'avoir des lunettes à double foyer... que de s'émoustiller devant la voisine et sa mini-jaquette ! J'ai pensé à tuer mon chum, qui pour une fois n'avait pas oublié de barrer la porte d'en arrière, prendre un bloc de béton de mon terrassement pour fracasser la fenêtre de la porte, ou m'asseoir sur le perron et brailler toutes les larmes de mon corps.

La température avoisinait les + 8 degrés Celsius et en gougoune, mini-jaquette et mini-manteau tout mince... il ne faisait pas chaud ! Puis je pense à ma fille, Vanessa, qui habite à 10 minutes (à pied) de chez moi. Pas peignée - je vous rappelle que je venais de me lever - en gougoune et en short avec mon manteau de nylon à 8 degrés Celsius, je me suis rendue chez ma fille pour aller chercher sa clé.

Bien sûr, elle dormait, elle m'a fait un air « de boeuf » parce que je l'avais réveillée ! Je peux tu vous dire que j'étais armée pour débattre mon point... et ne surtout pas me faire « engueuler »... il était 7h14... et il faisait toujours aussi froid ! Retour vers la maison avec la clé de ma fille... et après 20 minutes de marche (aller-retour) sous une température polaire... (bon okay, mais bon, je faisais vraiment pitié), je peux tu vous dire que la maudite poignée de porte avait signé son arrêt de mort. Il n'était pas question qu'elle vive une journée de plus sur le même toit que moi ! Foutue poignée qui ne se déverrouille pas quand tu "clanche" la poignée! J'allais dire à mon chum : C'est elle ou c'est moi... Et pompé comme je l'étais, il était bien mieux de me choisir... ce qu'il a fait ! Oufff...

Voilà mon début de journée mardi !

(Ahhhh ! une autre gorgée de vin blanc ! Et vous ça va ??)

Ce matin, je suis au bureau, je travaille tranquillement... les profs rentrent lundi (j'ai hâte en mosus, c'est plate quand l'école est vide), je fais mille et une petites affaires ! Je reçois un téléphone de mon partenaire... Catastrophe : l'impôt vient de débarquer dans nos vies (lire geler les comptes de banque) pour une affaire qui remonte à 2008 et que je croyais régler ! Ben paraîtrait que ça ne l'était pas !

Alors, appelle Monsieur Untel, parle avec Madame Unetelle. Je suis polie, douce, aimable, compréhensive - (respire, Lucille, respire, il a le gros bout du bâton, ce gars-là), posée, gentille (même moi, je ne me reconnais pas, c'est peu dire comme j'étais gentille au téléphone).

Trois heures après, deux fax plus tard et un coeur qui a eu autant de soubresauts qu'un kangourou peut en faire dans une journée, le calme était revenu dans la chaumière ! Le monsieur de l'impôt a été super compréhensif et oui, je peux dire gentil. Il a accepté mon arrangement... et surtout a été ouvert à dégeler les comptes de banque ! Tsé, ils ne niaisent pas avec la puck eux autres !!

Voilà ! On est mercredi ! 72 heures de passé dans cette dernière semaine (complète) du mois d'août 2012. Va-t-elle finir par finir cette foutue semaine, calvaire !! Je suis brûlée, épuisée, vannée! Je veux vivre calmement, simplement, sans faire de vague ! Je peux-tu ???

À la prochaine...

(PS: Pis, m'avez-vous plaint un peu???)


lundi 20 août 2012

On a (pourtant) marché sur la lune...

Cet après-midi, 13 h 40, j'avais rendez-vous à l'hôpital pour une mammographie, que m'invite à prendre tous les deux ans — à titre préventif uniquement — mon ministère de la santé. Coincée dans la petite cabine d'un vert déprimant, j'essayais de comprendre comment je pourrais bien faire pour attacher la petite et mince jaquette bleu pâle très (très, très, très) délavée que m'avait tendue une technicienne qui paraissait complètement épuisée en ce froid lundi pré-automnal (ouais, je sais, ailleurs au Québec il faisait beau, y parait... ici, dans mon Abitibi natal, on gelait, calvaire!)

Bon, bref! C'est en me débattant avec les maudits cordons de la jaquette, que je me suis souvenue du texte que publiait Michelle, une amie blogueuse, en fin de semaine : L'habit fait le moi. Dans son texte, Michelle, qui fait un portrait peu reluisant de cette pièce de vêtement archaïque, a oublié de parler de la statique chronique qu'il y a sur ces jaquettes d’hôpital... Je suis certaine qu'il y en a assez pour éclairer la ville de New York durant un mois. Et je ne vous parle pas de la quantité de chocs que j'ai dû subir à cause de cette foutue statique.

Pour ceux et celles qui ne savent pas, une mammographie — après une colposcopie — est l'examen le plus humiliant, le plus dégradant, le plus avilissant qui soit! Non, mais bordel! N'avons-nous pas marché sur la lune??? Y aurait-il moyen d'inventer une machine qui aurait les mêmes propriétés, mais qui ne nous ferait pas sentir comme un morceau de viande qui passe dans les Usines d’Olymel ! Juste pour vous dire, je compatissais avec tous les poulets pressés de la terre.

Je sais, je sais, c'est un mal nécessaire!

Image prise sur le site :
http://www.womenhealthzone.com/
tests-and-treatments
/mammogram/
digital-mammography/
La technicienne — une autre, mais super professionnelle — était toute en douceur et en gentillesse. Mais, veux, veux pas, de se faire « squeezer » le sein dans cette espèce d'étau de plastique qui compresse tant que le souffle ne te coupe pas, à de quoi te faire haïr n’importe qui. Et elle doit être habituée, parce qu’elle est restée indifférente aux regards meurtriers que je lui lançais. Que dire aussi de la peinture des murs « vert hôpital » que tu regardes pour te distraire et qui n'est d'aucun secours quand tu implores en silence la technicienne de peser sur son maudit bouton afin qu’elle te libère de là au plus sacrant!!! 

Et les bras, on ne sait pas où les mettre... ils n'ont aucune utilité ni aucune place dans le scénario. Enfin, la p'tite maudite jaquette bleue, à un moment donné, n'avait plus sa raison d'être, je vous le jure!

Vraiment, j'aurais voulu me voir ailleurs. Entre ça et nettoyer une fausse sceptique... pas sûre que je n’aurais pas choisi la deuxième option!!

Quand tu penses que ton calvaire est fini, y a la madame qui dit : Je vais vérifier si tout est correct avec que vous partiez, au cas où il faudrait recommencer! Faisant les cent pas en attendant le verdict, je peux-tu vous dire que je souhaitais que tout soit correct! Et ce le fut.

Donc, vingt minutes d'enfer pour prévenir, bien sûr! Mais, j'appuierais n'importe quel candidat qui me promettrait une meilleure technologie pour toutes les salles de torture... euh... de mammographie du Québec! Allez, lâchez le plan nord, les carrés rouges et les promesses insipides, chers politiciens. Vous avez encore deux semaines pour gagner mon vote!



samedi 18 août 2012

J'ai fait brûler les rabioles ...

Pour le commun des mortels (que je ne suis pas)... organiser un souper entre ami(e)s est l'affaire de rien. On fouille dans son livre de recettes, on se rend chez IGA et on organise le tout en deux temps, trois mouvements! On reçoit ses invités, on s'assoie, on relaxe et on savoure le fruit de notre labeur en dégustant un délicieux vin blanc qui goûte le bonheur et qui se boit facilement.

Pour moi, l'aventure est beaucoup plus (et toujours) compliquée! Dans mon petit cerveau, habitué d'inventer des histoires et d'écrire des romans, préparer un souper entre amis est aussi ardu que monter le Mont Everest. Une périlleuse aventure qui n'a de cesse de me surprendre de toutes les façons.

First : je n'ai jamais aucune idée quoi servir, outre les éternelles brochettes de poulet accompagnées de ma légendaire salade aux carottes (si vous voulez la recette, je vous l'offre avec plaisir). Donc, pour faire originale et voulant remettre la pareille à mon amie Louise, qui ne cesse de m'accueillir à bras ouverts, j'ai décidé de faire un souper... quatre services... au camping!

Ouais, je vous entends... elle ne se l'est pas jouée facile! Et ben non, je ne fais jamais dans la facilité, moi, vous saurez! Alors, en catastrophe, je cours chez mon amie Danielle. Mon amie Danielle a ce don d'avoir toujours sous la main le menu parfait qui vous dépanne, peu importe la circonstance... Mon amie Danielle est une parfaite maitresse de maison qui a toujours la t'tite affaire le fun qui fait en sorte que vous vous sentez poche jusqu'à la racine des cheveux! Avez-vous cela, dans votre armoire de cuisine vous autres, des verrines pour servir du saumon fumé avec du fromage Philadelphia? Non... ben elle, mon amie Danielle, elle a cela! Connaissez-vous cela vous autres du fromage Coeur de lion que tu assaisonnes avec du sirop d'érable et des pacanes le tout servi sur une feuille de laitue? Et ben mon amie Danielle fait ce genre d'entrée, elle! Je peux tu vous dire que mon amie Danielle... elle m'énerve des fois avec ses milliers d'idées géniales, sa facilité à tout réussir et son charme naturel !

Alors, cette bonne âme charitable a bien voulu préparé un menu original pour son amie (moi) dont, je vous le rappelle, est spécialiste en brochettes de poulet, en salade aux carottes et en écriture de romans. Déjà, à l'épicerie, j'ai lâché prise. Le foutu fromage Coeur de lion... ben je l'ai jamais trouvé! Alors, il a été biffé du menu de façon magistrale! Ainsi que le guacamole qu'elle voulait que je serve avec les crevettes... Pas vu, donc, pas acheté! (les crevettes serviront pour le souper de demain).

J'ai donc fait un filet de porc à la moutarde et à l'ail... (sans ail, parce que j'ai oublié d'en mettre dans la recette... ben oui, je suis comme cela, moi... j'oublie des ingrédients dans mes recettes. Ça doit être pour cela que je ne réussis jamais rien ;). Avant, j'avais servi un potage aux légumes dans des petits pains ronds (ouais, là j'ai vraiment impressionné la galerie) et une salade verte avec des crudités attachées avec une ciboulette (toujours une idée de mon amie Danielle).

Comme accompagnement, avec le filet de porc, j'avais fait des carottes glacées aux pistaches! Encore là, je vous le donne en mille ! J'avais préparé les pistaches... que j'ai oublié dans un plat sur le comptoir. Donc, on a mangé des carottes glacées aux pistaches... sans pistaches.

C'était vraiment une belle présentation, comme assiette. Et j'avais préparé des rabioles!

Photo prise sur le site de metro.ca
 Ça, c'est mon amie Louise (celle que j'avais invitée à souper... dans sa roulotte), qui m'a fait découvrir ce petit légume. C'est dans la famille des navets... et ça ressemble à s'y méprendre à des pommes des terres (sans les calories). Les foutus rabioles... je les ai oubliées sur le rond du poêle, et elles ont collé au fond du chaudron. Donc, en catastrophe... et en prenant un petit verre de vin, on a refait cuire des rabioles... en les surveillant de très près.

Le tout devait se dérouler dans ma roulotte, au terrain de camping! Finalement, j'ai transporté mon attirail chez mon amie Louise (quatre terrains plus loin) et le souper s'est tenu dans sa tente cuisine (demandez-moi pas pourquoi... je ne vous le dirais pas, baon !! ). Et je vous passe sous silence l'état de ma mini-cuisine, qui avait l'air d'un chantier de guerre. Le souper c'est somme toute bien déroulé : les gens ont apprécié, le vin était (super) bon et on a bien ri en finissant la soirée autour du feu de camp qui flambait joyeusement.

J'étais bien contente de mon souper, mais je sais que je n'en ferais pas une vocation, promis, juré! Alors, si je ne vous invite pas à souper, ne le prenez pas personnel ! C'est pas que je ne vous aime pas, c'est que pour faire ce qui pour vous est d'une simplicité désarmante, pour moi ça devient un défi considérable.

Je préfère écrire un roman que préparer un souper ! Je vous le jure ! Vraiment... ;)





samedi 11 août 2012

Je reprends du service...

11 août, presque la mi-août déjà! Un été passé à la vitesse de l'éclair où le repos, la route, le motorisé, le camping et l'écriture ont été à l'honneur. Qui dit vacances, dit lâcher-prise... et ce lâcher-prise s'est répercuté jusque dans mon blogue, qui je dois l'avouer, à connu un régime draconien.

Je me remet donc ce matin au boulot en me disant que comme l'exercice physique, je me devrais d'être plus performante et surtout plus disciplinée. J'ai envie de parler... j'ai toujours envie de parler ;) Je me donne donc comme objectif de nourrir mon blogue de textes qui, j'espère, sauront vous intéresser. Ne parle-t-on pas toujours de ce qui nous passionne? Alors, je discuterais amplement d'écriture et de lecture...

Image sélectionnée sur Internet
Je reprendrais donc du collier aussi avec des sujets moins intéressants, mais tout autant d'actualité : la politique, la corruption, la météo, les inondations de sous-sol (ben oui, j'ai eu droit à ce phénomène naturel où Dame Nature a déversé quatre pouces d'eau dans toutes les pièces de mon « sous-bassement » comme disait mon beau-père). Ce sera le sujet de mon prochain blogue  :).

J'ai l'intention d'être « régulière » dans mes textes et ce sera un honneur pour moi de recevoir vos commentaires. Un commentaire laissé sur un blogue est comme recevoir un sourire d'un étranger que l'on croise dans la rue. On ne connait pas toujours la personne, mais ce sourire nous donne un petit « boost » pour continuer. Alors, vos commentaires sont les bienvenus.

NB; Note pour ceux et celles qui ne savent pas comment laisser un message, voici un petit cours « Blogue 101 ». Premièrement, vous cliquez sur « Message » au bas de chacun des textes. Vous inscrivez votre message dans la section « Saississez  votre message » et ensuite vous cliquez sur « Sélectionnez le profil » (juste en bas de l’espace pour le message), cliquez sur compte Google.

Vous allez être amené sur une page pour vous inscrire à un compte Google avec une adresse Hotmail et un mot de passe. « ** Ne pas cocher la case « restez connecter ». Ça risque de "bugger" souvent ». Ensuite, vous cliquez sur Connexion et votre message sera automatiquement inscrit dans la section message du texte… et je répondrais avec plaisir.

Simple et vite fait, vous verrez!

Au plaisir de partager avec vous!

 

dimanche 5 août 2012

Culloden - la fin des clans : Quand romance, histoire et guerre se rencontrent !

Ce matin, 4h30, Camping de Malartic. Il pleut des cordes. Le tonnerre, les éclairs et l'averse qui coule en trombe sur le toit de mon motorisé m'ont tenu éveillée alors que mon chum ronflait à soulever les rideaux à mes côtés. 

Culloden, la fin des clans
de Valérie Langlois
VLB Éditeur



Essayant en vain de me rendormir, j'ai fait contre mauvaise fortune bon coeur et me suis donc levée afin de terminer, à la lueur d'une petite lampe, le merveilleux roman Culloden - La fin des clans, de Valérie Langlois, publié chez VLBÉditeur. 

J'avais ce roman qui dormait sur ma table de chevet depuis le Salon du Livre de Montréal. À cette occasion, j'avais eu le bonheur de rencontrer cette merveilleuse femme qui dégage une énergie si belle, si douce, une femme dynamique et enjouée comme on voudrait tous en avoir au moins une dans son cercle de connaissance.

Un sourire charmant, un mine espiègle et un coeur grand comme ça ! Voilà ce qui en quelques mots décrit assez bien cette auteure qui en est à ses premiers balbutiements dans le merveilleux monde littéraire. Au fil des semaines et des mois et grâce à la magie de Facebook, j'ai pu découvrir cette belle personne qui est devenue une amie virtuelle qui m'est très chère.

Avec ses mots articulés, ses descriptions riches, son vocabulaire recherché et son imagination débordante, Valérie Langlois nous présente ce roman historique qui se lit sans prendre son souffle. L'auteure, originaire de Montmagny, nous transporte dans un autre monde, dans une Écosse déchirée par la guerre en 1746. On y fait la connaissance de valeureux guerriers Highlanders qui se battent corps et âmes pour garder le territoire que veut conquérir l'armée britannique qui, avouons-le, avec des moyens assez barbares !

Le personnage principal, Aimili Munro y vivra des aventures pénibles et douces, blessantes et salvatrices, laides et belles.

Culloden, la fin des clans, un excellent roman ! Culloden, la fin des clans, un livre à lire absolument !